Pour une démocratie apaisée et solidaire !
Le jeune bobo-gocho-sc-po ayant écouté toute l’année les sermons du vieux gourou, vit ses nonotes rabougries, l’année scolaire s’achevant. Il se décida, non à mobiliser son énergie pour rattraper son retard et préparer son avenir, mais à prendre en otage toute son école, empêchant d’autres de s’instruire.Faisant sienne la devise des enragés en écharpe, il Lire plus …
Issus, à l’origine, de militants plus convaincus du bien fondé de leur idéologie que par les règles de la démocratie, cette défaillance des outils mentaux et l’accommodement moral au principe de : « la fin justifie les moyens » ainsi que la fascination pour la transgression de la délinquance qui serait anti-bourgeoise et anti-religieuse alors qu’elle est bourgeoise dans les faits et néoreligieuse dans les principes.
L’ensemble des minorités ont repris ces méthodes peu regardantes sur la valeurs intellectuelle de l’esprit humain, l’efficacité douteuse des résultats et surtout l’impasse totale sur les conséquences désastreuses pour notre société.
Les idées, les actions ne sont pas combattues, ni analysées en profondeur, les interactions des choses et des événements entre eux ne sont pas recherchées, il suffit de faire ressortir une logique apparente même si elle ne pourrait pas résister au moindre questionnement de base et parfois sans aucun rapport avec le sujet évoqué. Lire plus …
Une société en excellente santé se pose les bonnes questions, dans le bon ordre d’un espace spatio-temporel le plus vaste possible, elle réfléchit et analyse dans le but de modifier en mieux ce qui existe sans formuler des solutions avant d’y avoir pensé ou de les faire passer par le filtre déformant d’une idéologie.
Au regard du débat sur la réforme des retraites sans aborder ce qu’est le travail, les nécessités incontournables de notre société liées à la survie, les attentes intérieures des individus, l’indispensable promotion du travail pour les citoyens et la collectivité de l’enrichissement matériel et immatériel qu’il apporte, notre société se ridiculise en épiloguant sur la notion de fatigue signe d’une société déprimée, incapable de trouver du sens à son existence, juste entasser des biens qui apportent l’illusion d’exister ! Lire plus …
L’investiture de Taha Bouhafs pour les législatives de 2022 (déjà candidat en 2017 pour LFI) a soulevé des critiques liées à de nombreuses affaires de violence (voir Taha bouhafs -francetvinfo.fr pour plus de détails). Corbière et Autain invoquent dans un premier temps du racisme à son encontre puis dans des gesticulations boulvardesques il est écarté de l’investiture en ne manquant pas de signaler la démarche exemplaire de LFI pour cette action.
Sitôt la composition du gouvernement annoncée, l’affaire Abad est lancée. C’est un mécanisme d’horlogerie méticuleusement préparé :
1. Un observatoire qui n’a rien d’officiel puisque c’est une association créée au départ par 3 féministes très engagées au-delà de la cause qu’ils prétendent défendre. Il n’a pas de moyen d’investigation, ni d’éthique ou de méthode clairement définie, il se contente de relayer, d’encourager ou de solliciter sans aucune vérification des faits, des paroles, des accusations. Les fondatrices sont plus ou moins liées à LFI. Lire plus …
Que l’on soit président ou simple citoyen, un individu obéit toujours à une intentionnalité qui est la résultante de son mental. Les valeurs qui structurent celui-ci s’associent aux émotions pour donner de l’énergie; les raisonnements, les idées retenues du maelstrom mental, les actions, l’imagination seront des prolongements de cette intentionnalité, des justifications qui donnent de la cohérence à l’individu. Il est possible de s’extraire de ces limitations individuelles en court-circuitant l’égo pour le stade du « sans contrainte idéologique ». En 5 ans Macron laisse un chantier inachevé, la faute aux événements, aux oppositions envieuses, malveillantes diront ces adorateurs fascinés par son intelligence, son culot, ses valeurs, sa vision de notre société et de ce que doit être l’Europe. Les événements constituent la substance, aucune action ne peut se faire dans le vide, on se doit de les intégrer, d’agir de manière a en tirer une force et non un blocage. Lire plus …
Voilà ce dont nous avons besoin pour construire un avenir radieux pour notre société et les individus qui la composent; les défis qui nous font face sont des opportunités de développement et d’une meilleure connaissance de ce que nous sommes. Les candidats ne nous font pas rêver avec leurs cadeaux mal emballés, ils cherchent pathétiquement notre adhésion en proposant les étrangers comme boucs émissaires, l’Europe comme responsable de nos problèmes, les riches fabriquant de pauvreté, Macron inventeur de tout ce qui va mal, ou l’Europe comme chevalier blanc pour vaincre nos difficultés … et l’argent qu’il suffirait de déverser par canadairs au-dessus de nos secteurs sinistrés. Lire plus …
Elle voulait se sacrifier au nom du PS elle vit un cauchemar de femme battue. Les perturbateurs endocriniens ont laissé des traces, c’est un parti sans idée, sans communicant, sans stratège…Une campagne électorale se gagne même en perdant ! Son but n’est pas de devenir Présidente de la République ni de ferrailler contre Macron, Pécresse, Belphégore du Louvre ou un Hobbit mais de devenir leader de la gauche pour cela pas besoin d’union avec des machos récalcitrants mais de piquer leurs électeurs, un jeu d’enfant : Jadot c’est la candidature inutile il est assis sur un réacteur nucléaire écologiste en surchauffe avec les wokes et les pas encore réveillés de leurs cauchemars, une matière première incontrôlable, Lire plus …
C’est de plus en plus compliqué d’échanger avec des personnes qui ont des opinions différentes, elles déforment ce que vous dites, s’attaquent systématiquement à votre personnalité à la place de vos idées, ce ne sont pas des arguments qu’elles vous opposent mais des jugements, pas le moindre effort de compréhension ou de recherche de conciliation, il faut massacrer, détruire, pulvériser le contradicteur, non pas à coups de vérités mais d’agressivité ! Comment notre société a pu en arriver là ? La société de consommation par son abondance, sa superficialité pour les choses essentielles de l’existence, en maintenant nos esprits dans une sorte de confort éternel n’a pas fait évoluer l’individu face à ses responsabilités, ni aux réalités de l’existence. Lire plus …