Depuis 1950 le solde de notre balance commerciale (biens et services) se retrouve en déficit, sauf pendant la période 1993-1999 (entre + 3.6/21 mds en mini et maxi) et l’année 2002 (+3.7 mds). Depuis 2003 ce solde est négatif entre 60 et 100 mds chaque année, comparativement l’Allemagne dégage 180 mds d’excédents, les Pays-bas 68, l’Italie 64 mds, la Belgique 21, (2020).Que signifie ce solde ? Nous importons plus de biens et de services que nous n’en vendons aux pays étrangers. Nous enrichissons nos partenaires et nous nous appauvrissons, de plus en ayant recours à l’endettement (double peine). Nous vivons très au-dessus de nos moyens puisque nous ne sommes pas capable de produire ce que nous consommons, nous avons besoin des pays étranger pour subvenir à notre consommation. Le problème c’est que nous achetons beaucoup plus que nous ne produisons de richesses ! Conséquence nous ne pouvons pas atteindre le plein emploi 
dépenses sociales en plus), ni encaisser des recettes fiscales supplémentaires ( impôts sur les sociétés, totalité de la tva …) donc endettement supplémentaires pour régler nos dépenses courantes de fonctionnement ( salaires des fonctionnaires, déficits des caisses de retraite et maladie, investissement d’infrastructures et d’entretien de celles-ci, subventions pour les canards boiteux, paiement des intérêts de plus en plus important de notre dette 40/50 mds/an avec des taux aujourd’hui très bas. Pourquoi aucun candidat ne propose un plan d’urgence avec une méthode crédible avec des moyens, une organisation qui permettait à nos entreprises d’exporter plus. Il en va de notre pouvoir d’achat, de notre niveau de vie et de notre souveraineté.