ON ME VOIT J’EXISTE, VA T-IL REMPLACER : JE PENSE DONC J’EXISTE ?

En diffusant 30 oisifs tapant sur des casseroles ; payés peut être par des puissances étrangères malveillantes, des partis ou des mouvements ne comprenant pas le principe de la démocratie et en les diffusant en boucle toutes les heures pendant des jours et des jours … cela donne l’impression d’un gigantesque concert partout en France, la réalité est toute autre car ce n’est pas la fête de la musique !

La volonté des médias est claire : développer l’idée que la rue serait la référence en matière de démocratie, nos institutions démocratiques seraient illégitimes et nos lois devraient être validées par ceux qui font du bruit à défaut de travailler et de réfléchir.

Comment des médias peuvent véhiculer ce genre d’idées, eux qui sont censés incarner l’esprit critique, l’objectivité, la neutralité au nom de l’éthique informative.

Quelle idée se font-ils de leur métier ? Que veulent-ils pour notre pays : le pire ou le mieux ?

Donner la primauté aux émotions de préférence mauvaises à la place d’un travail de réflexion scrupuleux ne peut conduire qu’à la catastrophe d’une société !

Comment les médias en restant sur le superficiel, en rendant Macron responsable de tout, peuvent éclairer l’avenir, d’évidence un homme seul ne peut être responsable de tous les problèmes d’une société… alors pourquoi ne pas les mettre sur la table et pousser les réflexions pour en faire ressortir de vraies solutions collectives et individuelles.

L’époque est formidable, nous avons besoin d’élever notre niveau de jeu, comme dirait un sportif, devenons plus instruits, développons nos connaissances, imaginons, soyons créatifs, entreprenants, manifestons des initiatives, mettons en place des expériences que nous évaluerons, prenons des responsabilités, des risques calculés, faisons des choses inhabituelles, dépassons notre zone de confort, simplifions les choses pour avoir plus de temps et d’énergie à disposition… bref mettons nous au travail plutôt que d’être des victimes ou de pinailler sur la redistribution des richesses raisonnables que nous ne savons pas produire en quantité suffisantes pour élever le niveau de vie de tous !

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